Achept pour Jean GUERIN fu Mathieu des Theoles et debte pour André son frère
Ancêtres intervenants dans cet acte
Informations complémentaires
Résumé :
André GUERIN fu Mathieu des Theoles, résident à présent en Languedoc a vendu à Jean son frère, ses biens immeubles au terroir de Barcelonnette, consistant en bâtiments, terres, prés et bois.
Un bâtiment contenant maison, grange et étable de haut en bas et de bas en haut avec toutes choses fixées et clouées, avec une cour et une part d’heire.
Confronts :
Levant : La place du toront
Couchant : l’heire commune
Midi : Antonelle GUERIN
Septentrion : Barthélémy FABRE
Un canton de Chenevier aux Guérins
Confronts :
Levant : l’acheteur
Couchant : Antonelle GUERIN
Midi : Marthe GUERIN
Septentrion : Chemin vicinal
Une pièce de terre au même lieu appelé Les Faisses
Confronts :
Levant : Pierre GUERIN dit Bol ou Bel
Couchant : l’acheteur
Midi : Barthélémy EISSAUTIER
Septentrion : Le fleuve Ubaye
Une pièce de terre au Clot Meiran au lieu dit La font
Confronts :
Levant : La combe
Couchant et Midi : Terre de Jacques GRASSI notaire et procureur de Barcelonnette
Septentrion : Terre de Mathieu leur frère
Une pièce de terre et pré contenant des arbres au même lieu, appelé Clotosan,
Confronts :
Levant : Honoré JAUBERT fu Jacques
Couchant : Peiron BOREL, Honnoré FABRE et Esprit ALLEMAND
Midi : Terre commune
Septentrion : Chemin vicinal
et généralement tout ce qu’il lui est advenu dans l’acte de division entres eux et leurs autres frères
Le prix de l’ensemble est convenu à 78 écus de 3 livres en monnaie de France. En déduction de cette somme, le vendeur confesse avoir reçu 19 écus. L’acheteur promet de payer le restant comme suit : 6 écus lors du relèvement des héritiers de fu Ms ALLEMAND, en son vivant notaire et procureur de Barcelonnette, et le restant en 3 versements égaux par an dont le premier à la prochaine fête de Pâques.
Généalogie :
Jean, André et Mathieu fu Mathieu GUERIN
Témoins :
Messire Claude MARSEILLE Prêtre des Theoles
Jean MARTEL fu Estienne
Commentaires : Jean MARTEL dans le texte, Jean MARTELLY en signature.